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13 mars 2013 3 13 /03 /mars /2013 07:24

looking-for-alaska.jpg

 

J'ai découvert John Green un peu tardivement avec son dernier roman "Nos étoiles contraires". Bien que ses romans soient estampillés "teen novels", j'ai été extrêmement touchée par son écriture et les thèmes qu'il aborde et je me suis empressée de me procurer son premier roman, "Looking for Alaska" (en Français "Qui es-tu Alaska ?"). Une rencontre un peu ratée, qui aurait dû avoir lieu il y a 16 ans (mais c'était impossible)... A cette époque, je pense que ce livre aurait été une révélation pour moi, il aurait eu le même impact que  "An Imperial Affliction" pour Hazel dans "Nos étoiles contraires" :

"It wasn't even that the book was so good or anything ; it was just that the author, Peter Van Houten, seemed to understand me in weird and impossible ways. An Imperial Affliction was my book, in the way my body was my body and my thoughts were my thoughts."

 

J'ai aimé le thème récurrent de John Green (la quête d'un sens de l'existence), la justesse avec laquelle il traite de l'adolescence et la façon dont il aborde, encore une fois, un sujet difficile.

J'ai moins aimé le cadre où se déroule l'intrigue, un pensionnat, avec les incartades et menaces d'expulsion afférentes qui ne m'ont pas vraiment passionnée.

Le récit se déroule en deux parties, la première étant le compte à rebours d'un événement inconnu et la deuxième l'enquête qui suit cet événement. La deuxième partie est très forte mais j'ai assez vite décroché de "l'enquête" ayant trouvé la "solution" assez rapidement. C'était frustrant de suivre ces personnages qui peinaient et piétinaient pour la résoudre.

 

"You spend your whole life stuck in the labyrinth, thinking about how you'll escape it one day, and how awesome it will be, and imagining that future keeps you going, but you never do it. You just use the future to escape the present."

 

"There comes a time when we realise that our parents cannot save themselves or save us, that everyone who wades through time eventually gets dragged out to sea by the undertow - that, in short, we are all going."

 

"That is the fear : I have lost something important, and I cannot find it, and I need it. It is fera like if someone lost his glasses and went to the glasses store and they told him that the world had run out of glasses and he would just have to do without."

 

La critique de Leiloona

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commentaires

M
<br /> Je l'ai acheté (bon pas en VO par contre) et je compte le commencer prochainement.<br />
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Y
<br /> <br /> J'ai fait attention à ne rien révéler !  J'attends ton avis alors !<br /> <br /> <br /> <br />